Concours d’entrée au CFMI : 285 candidats face à leur avenir, sous le regard du Ministre

Concours d’entrée au CFMI : 285 candidats face à leur avenir, sous le regard du Ministre

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Ce 17 septembre 2025, le Centre de Formation aux Métiers de l’Industrie (CFMI) a accueilli 285 jeunes candidats venus composer pour le concours d’entrée, sous le regard attentif du Ministre de l’Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage, Isaac TCHIAKPE. La cérémonie de lancement, marquée par la détection officielle des enveloppes contenant les sujets, a été l’occasion pour le membre du gouvernement de rappeler l’importance stratégique de la formation professionnelle dans le développement du Togo.

Les candidats attentifs au message du Ministre

Dans son allocution, le Ministre a déclaré : « Dans le cadre du Plan national de développement du Togo, la question des compétences techniques et professionnelles à mettre au service de notre économie, tant dans ses dimensions agricoles qu’industrielles, est essentielle. Le Centre de Formation aux Métiers de l’Industrie (CFMI) s’inscrit pleinement dans cette dynamique en contribuant à la politique du gouvernement, qui vise à former des talents directement opérationnels sur le marché du travail. »

Les candidats reçoivent les sujets de composition

Il a insisté sur la pertinence des filières enseignées au CFMI, qualifiées de « métiers prioritaires et d’avenir » tels que l’assainissement, la mécanique, le froid industriel et alimentaire. Pour lui, les apprenants qui sortent de ce centre sont des « compétences sûres, avérées, qui s’insèrent facilement sur le marché du travail ». Le Ministre a également rappelé que le CFMI prépare aussi bien au Brevet de Technicien Supérieur (BTS) qu’au Baccalauréat professionnel, un diplôme qui, selon ses mots, « permet d’acquérir des compétences professionnalisantes et favorise une insertion directe sur le marché du travail ».

Les candidats attentifs au message du Ministre

S’adressant directement aux candidats, le Ministre a livré des conseils empreints à la fois de rigueur et de bienveillance : « Nous avons donné des conseils d’abord en tant que parents, ensuite en tant que responsables de l’action publique. Nous leur avons recommandé de rester attentifs, de relire leurs copies et de mobiliser toutes les connaissances acquises durant l’année, car un examen n’est qu’une évaluation de ce qu’on a appris ».

Dans une ambiance studieuse, les 285 candidats ont entamé les épreuves, nourris par l’espoir d’intégrer un centre d’excellence où chaque filière ouvre la voie vers un avenir professionnel assuré.

BAKALI M.